En 2008, Grégoire est le premier artiste produit par le public, grâce au label participatif My Major Company. Cinq ans et 1,6 million d’albums plus tard, il nous présente son troisième opus, « Les Roses de mon silence », qu’il a voulu plus varié et plus proche de ce qu’il est.
Crédit Photo : Stéphane Mortagne
Dans ce nouvel album, vous vouliez montrer l’étendue de vos influences ?
« Je voulais de la variété, donc des choses variées. J’ai une discothèque très éclectique, de Reggiani à Pink Floyd. Je voulais arrêter de tourner en rond avec guitare- piano-batterie, qui étaient la base des deux premiers disques. Avant je crois que je me freinais un peu. Mais cette fois, je n’ai voulu m’empêcher de rien. »
« Si tu me voyais » tourne en radio, mais quand vous êtes invité en télé vous en chantez d’autres, c’est pour montrer cet éclectisme ?
« Je veux montrer qu’il y a tout un album à découvrir et je ne veux pas qu’il y ait, comme ça s’est déjà passé, une seule chanson qui prenne le pas sur tout le reste. Je pense que… Lire Plus